Ce fut le début de la fin et la destruction presque totale de la cathédrale en 1848. Après ces sinistres événements, seule la partie qui a survécu est visible aujourd’hui. Au XIXe siècle, une église en briques bien conservée a été ajoutée au complexe.
L’ensemble du complexe est entouré d’un mur de pierre massif, qui servait autrefois de protection fiable pour l’évêque qui s’y trouvait. Construit entre 1774 et 1777, le palais épiscopal ne compte que deux étages et semble plutôt modeste pour un titre aussi prestigieux. Il est interdit d’y pénétrer car il abrite l’actuel couvent de Sainte-Nina.
Ce fut le début de la fin et la destruction presque totale de la cathédrale en 1848. Après ces sinistres événements, seule la partie qui a survécu est visible aujourd’hui. Au XIXe siècle, une église en briques bien conservée a été ajoutée au complexe.
L’ensemble du complexe est entouré d’un mur de pierre massif, qui servait autrefois de protection fiable pour l’évêque qui s’y trouvait. Construit entre 1774 et 1777, le palais épiscopal ne compte que deux étages et semble plutôt modeste pour un titre aussi prestigieux. Il est interdit d’y pénétrer car il abrite l’actuel couvent de Sainte-Nina.